Personne ne peut spécifier ce que doit être le bonheur pour un autre que lui-même ; il ne le peut non plus pour lui-même pour une époque éloignée, car le bonheur est un état d’esprit et la poursuite de désirs qui varient toujours d’individu à individu et, chez l’homme, d’un âge à un autre. (LEIBNIZ).
Pourquoi vouloir imposer un modèle du bonheur ? Pas plus que la religion il n’a de forme, emprisonné, il se rapetisse. (DE VIETINGHOFF).
Le Bonheur est une notion très personnelle. Beaucoup en jouissent sans s’en apercevoir ; la plupart l’ensevelissent sous des pensées sombres et des soucis inutiles. (J. FIAUX)
Le bonheur est comme la santé : on ne le sent jamais ; il faut l’avoir perdu pour le connaître.
(P. MONNIER).
C’est selon les dispositions de notre esprit que nous estimons bonnes ou mauvaises les circonstances dans lesquelles nous nous trouvons. (X.).
Le bonheur a besoin d’être interrompu pour être senti. (IGNOTUS).
D’un bonheur sans mélange on se lasse à la fin. (AGNIEL).
Le bonheur n’est pas, comme on le croit, tout d’une pièce. KARR).
Le malheur est souvent composé de malentendus, de mésintelligences qui auraient pu facilement être évités. (J. FIAUX).
Ce n’est pas ce que les hommes sont qui influe sur notre bonheur, c’est le jugement que nous portons sur eux. (J. FIAUX).